Passionné de custom, il expérimente son graffiti sur différents supports : bois, métal, toile, papier, murs, sac à dos, skate-board, snow-boards… Il est aussi un graffiteur de terrain, et réalise des « murs » ou « décors » de commande…
Il emprunte ses premières bombes à son père, des bombes de carrosserie. Montpelliérain d’adoption depuis 1999, c’est dans son garage qu’il travaille sur ses pièces uniques. Passionné de custom, il expérimente son graffiti sur différents supports : bois, métal, toile, papier, murs, sac à dos, skate-board, snow-boards…. Il est aussi un graffiteur de terrain, et réalise des « murs » ou « décors » de commande.
En 2007 il rencontre Giovanni Ingrato qui le fera passer de la feuille à la toile. De cette rencontre naîtra une belle amitié, humaine et artistique, qui le conduira, à participer à de nombreux salons d’art contemporain.
Un jour, il customise des colonnes en bois, ça lui fait penser à l’esquimau mythique. La forme est simple, identifiable par tous. HeRsK nomme son projet de glace artisanale graphitée : Something to suck. L’engouement est immédiat. On peut y voir ce qu’on veut, une liquéfaction de la couleur, de l’objet, de l’art. Du point de vue d’un enfant, c’est un esquimau tout simplement. Il fabrique lui-même ses structures en bois avant de poser les couleurs. Les bâtonnets des glaces sont fabriqués dans la petite menuiserie de Badaroux en Lozère. Retour à l’envoyeur.
Sur les terres de son enfance, il donne des stages de graph pour les jeunes. Depuis quelques mois, avec le soutien d’un laboratoire pharmaceutique, il travaille aussi le graff avec des patients atteints d’hémophilie, à Montpellier, Paris et Marseille.